Que de fois, mon amour, auprès du feu qui tremble,
Pénétrés par les doux regrets du jour mourant,
Nous restames rêveurs a regarder ensemble
Les grands flocons de neige qui tombaient lentement
Maintenant je suis seul, hélas! Le jour se pame
Et je souris (combien plus triste qu’autrefois!)
Aux doux regrets d’antan qui tombaient sur nos ames
Comme les grands flocons de neige, sur les toits!
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